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Caroline Delannoy
Psychologue, Exec. Coach | Neurosciences, Santé mentale, Innovation
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March 4, 2024
Fabriquer des fausses informations n'est pas nouveau. 🧠 Ce qui m'interpelle aujourd'hui c'est leur viralitĂ©, surtout dans la santĂ© ou la science. Pas vous? Moi si, beaucoup. Elles ne sont pas seulement une nuisance mĂ©diatique et intellectuelle, elles ont des consĂ©quences profondes sur nos cerveaux. La psychologie et les neurosciences progressent bc dans la rĂ©vĂ©lation des infĂ©rences et des motifs qui façonnent notre interprĂ©tation de la rĂ©alitĂ©. 👉 Alors pourquoi les Fake news ont cet effet si fascinant ? Voici donc les vrais effets quand nous sommes sous "Fakes News" 💉 1. La diffusion de fausses infos stimule la libĂ©ration de dopamine dans le Noyau Accumbens. Pourquoi? Pour toute nouveautĂ©, nous sĂ©crĂ©tons de la dopamine, ce qui active nos voies de rĂ©compense. Ce qui nous pousserait Ă  en rechercher Ă  nouveau (de la nouveautĂ©). Cette rĂ©action est alimentĂ©e par le dĂ©sir de nouveautĂ© et de rĂ©compenses associĂ©es Ă  la diffusion d'informations. 📈 Tamir & Mitchell (2012) et Bassareo et al. (2002). 2. Cependant, les fausses informations peuvent Ă©galement rĂ©duire l'activitĂ© dans les zones cĂ©rĂ©brales responsables du traitement de l'info approfondi, telles que le Cortex Orbito-Frontal (COF). 🙄 Oui, pas top ça. Alors qu'on a justement encore plus besoin aujourd'hui de ce traitement profond et fin de l'info. (Le COF, qu'est-ce que c'est? ... cette zone du cerveau qui est Ă  la hauteur de vos yeux/sourcils) đŸ€” ConsĂ©quence? Cela tend Ă  rendre les individus plus "vulnĂ©rables" Ă  la dĂ©sinformation. 📉 Roy et al. (2012) et Sharot et al. (2011). 3. Autre mĂ©canisme : la cohĂ©rence avec notre mĂ©moire. Celle-ci, grĂące Ă  des sentiments de familiaritĂ© est une heuristique que nous utilisons pour dĂ©duire la vĂ©ritĂ©. Ainsi les affirmations rĂ©pĂ©tĂ©es nous semblent plus vraies qu'une nouvelle ( activitĂ© accrue dans le cortex pĂ©rirhinal, une rĂ©gion impliquĂ©e dans d'autres effets de familiaritĂ© tels que le priming). 4. Enfin, nos attentes sociales et notre appartenance Ă  un groupe influencent la maniĂšre dont nous abordons les infos... ... encourageant ainsi le maintien des fausses informations. Nous aurions tendance Ă  moduler nos rĂ©ponses cĂ©rĂ©brales en faveur de comment les personnes que nous valorisons rĂ©agissent positivement, surtout dans des zones telles que le Cortex PrĂ©-Frontal Ventro-MĂ©dian. (Hein, c'est quoi encore? ... c'est le voisin du COF). MĂȘme une exposition courte aux fausses informations (5 min) modifie non seulement les attitudes mais aussi les comportements inconscients. Vrais Good News : 💡 en focalisant l'attention sur la prĂ©cision, la qualitĂ© des nouvelles que les gens partagent par la suite augmente. ❗ Toutefois, contrecarrer les idĂ©es fausses par la vĂ©rification des faits peut temporairement rĂ©duire la croyance, mais ils disparaissent rapidement de la mĂ©moire. La fourniture de vĂ©rifications de faits sur les gros titres de l'actualitĂ© renforce une capacitĂ© subsĂ©quente Ă  discerner la vĂ©ritĂ© ... Ă  suivre? Qu'en pensez vous ? đŸŽ€
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March 4, 2024
Changement de cap ! AprĂšs des annĂ©es formidables chez Omind, je tourne la page. Mais je n’oublierai jamais tout ce que cette expĂ©rience m’a apportĂ©e 👇 Lorsque j’ai rejoint Omind, le dĂ©fi Ă©tait de taille : monter et former des psychologues du travail et des coachs professionnels Ă  l’utilisation des neurotechnologies dans leurs accompagnements d’entreprises et d’executives. Plusieurs annĂ©es plus tard, nous avons considĂ©rablement rĂ©duit l’écart entre le savoir scientifique et son application en entreprise. đŸ’Ș 👉 J'ai dĂ©ployĂ© mes capacitĂ©s d’innovation et de design pour aider des grands comptes Ă  rĂ©aliser des programmes de grande Ă©chelle. 👉 J’ai créé des passerelles via l'approche neuroscientifique entre les RH(au top), les dirigeants et des coachs internes, chacun pionnier et innovateur sur les sujets de performance. 👉 J'ai rĂ©alisĂ© la prĂ©paration mentale de comitĂ©s de direction et Ă©quipes travaillant dans l'innovation pour qu'elles puissent prendre conscience de leur potentiel et les appliquer dans leur travail. Un vrai challenge ! đŸ€© Et pour ne rien gĂącher, je me suis beaucoup amusĂ©e Ă  crĂ©er une synergie unique entre ces entreprises et les Ă©quipes. đŸ€ Mon crĂ©do ? CrĂ©er d’emblĂ©e une relation de proximitĂ© avec les clients, pour gĂ©nĂ©rer de la transparence, de la crĂ©ativitĂ© et bien sĂ»r du fun. Aujourd’hui, je prends enfin le temps de m’écouter ! đŸ‘‚đŸ» Mon projet reste le mĂȘme : continuer Ă  faire avancer les lignes de la psychologie de prĂ©cision, de l’entrepreneuriat en psychologie, des neurosciences et de la diffusion des savoirs vĂ©rifiĂ©s. 🧠 Mais j’ai besoin de crĂ©er un lifestyle plus compatible avec des voyages Ă  l’étranger qui me sont chers, dĂ©ployer un investissement dans des projets pluriels, pour une meilleure qualitĂ© de vie entre Ă©panouissement pro et perso. 🌍 C'est ainsi que je commence mon tout 1er break pour mettre en prioritĂ© ma santĂ©, et penser mes prochains challenges pros. 🚀 Merci Ă  vous pour cette aventure passionnante chers Omind Neurotechnologies, coachs ambassadeurs, et RH ! Je suis trĂšs reconnaissante de ce que nous avons accompli ensemble, et suis honorĂ©e de poursuivre Ă  vos cĂŽtĂ©s, avec un autre format de collab, sur de futures missions innovantes. À bientĂŽt pour de nouvelles aventures ! 😊
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May 14, 2024
“Il est vraiment cerveau droit, lui.” 🧠 J’y pense encore lĂ . Venant de quelqu’un de bien calĂ© niveau science en plus. Cela me dĂ©concerte. C’est donc bien un #neuromythe qui a la dent dure, ce qui n’est pas sans impact dans l’entretien de psycho-mythes nĂ©fastes. 1. D’oĂč ça vient? Avant le 19Ăš siĂšcle, on pensait, en se fondant sur l’anatomie (et pas l’activation, attention nuance) que le cerveau Ă©tait un organe symĂ©trique. C’est alors que ces dĂ©couvertes ont bouleversĂ© ce consensus initial : - Broca pr l’aire de la prod. du langage (lobe frontal gauche-1861),  - Wernicke pr la comprĂ©hension du langage (lobe temporal gauche-1876)  - Hughlings Jackson pr l’attention visuo-spatiale (latĂ©ralisation droite-1872) Le #cerveau est vu ensuite comme un organe asymĂ©trique. đŸ‘¶ Naissance officiel de ce mythe donc. 2. Renforcement de cette heuristique C’est lĂ  oĂč la fiction de Stevenson (1886) s’en mĂȘle et permet de le diffuser. Son hĂ©ros aurait deux personnalitĂ©s :  - logique et maĂźtre de lui-mĂȘme, reprĂ©sentant le cerveau gauche alias Jekyll - primitif et bestial
 en bref le cerveau droit pour Hyde. 3. Les validations scientifiques rĂ©centes En 2013, une Ă©tude d’imagerie mĂ©dicale portant sur plus de 1000 sujets a eu des rĂ©sultats implacables : aucun des 2 hĂ©m. ne prĂ©sente une activitĂ© plus importante que l’autre.  L’activitĂ© propre d’une rĂ©gion cĂ©rĂ©brale semble ĂȘtre liĂ©e Ă  la tĂąche effectuĂ©e et non Ă  une prĂ©fĂ©rence hĂ©misphĂ©rique de l’individu. Depuis, une Ă©tude a dressĂ© pour la 1ere fois une carto complĂšte de la latĂ©ralisation des fonctions cĂ©rĂ©brales (2019) : 4 groupes de fonctions seraient latĂ©ralisĂ©es :  - la com. symbolique Ă  gauche,  - la perception/action et les Ă©motions Ă  droite,  - et la prise de dĂ©cision dans le lobe frontal (droit). đŸ€” LĂ  je sens que je vous perds. Mais continuons. 4. So what? MĂȘme s’il existe une asymĂ©trie, une info sera traitĂ©e par les deux hĂ©m. ms chacun traitera des aspects diffĂ©rents de cette info. C’est la somme des deux traitements par les 2 hĂ©m. qui, grĂące Ă  leur communication, permettra la rĂ©alisation de nos fonctions de façon optimale. Pourquoi? Car nos 2 hĂ©m. communiquent intensĂ©ment entre eux via le corps calleux. 👉 Le cerveau droit et le cerveau gauche sont en rĂ©alitĂ© les composants d’un systĂšme cognitif plus large agissant pour produire une unitĂ© de pensĂ©e et d’action. 👉Le cerveau est asymĂ©trique et n’est pas pour autant latĂ©ralisĂ©. 5. Fin du neuro-mythe et donc d’un psycho-mythe Vos capacitĂ©s crĂ©atives ou logiques ne sont en rien dues Ă  une suractivation spĂ©cifique et unique d’un hĂ©m. cĂ©rĂ©bral. Surtout : nous ne sommes pas l’un OU l’autre. La crĂ©ativitĂ© ne s’oppose pas Ă  la logique. Oui, ouf, on peut ĂȘtre crĂ©atif tout en Ă©tant logique. Cela n’est pas de l’ordre de la personnalitĂ©. Ce sont des capacitĂ©s qui se dĂ©veloppent ou peuvent ĂȘtre freinĂ©es. Si le sujet vient sur la table au moment de l’apĂ©ro, je vous laisse donc dĂ©battre avec les bons arguments ce week-end! #neurosciences #coaching
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November 26, 2023
Cela n’a pas Ă©tĂ© facile Ă  Ă©crire, mais c’est un sujet essentiel. MalgrĂ© leur engagement sur le sujet, si peu de professionnels formĂ©s. Je trouve vraiment cela dommage. đŸ«ž 👉 Annoncer une mauvaise nouvelle Ă  un quelqu'un, c’est un moment dont on se souvient. Quand il s'agit de santĂ©, c'est encore plus sensible, vous l'imaginez bien. Pour le soignant, parce que c’est toujours un dĂ©fi. Pour le patient, parce que chaque mot reste gravĂ©. Et pour un proche, parce que l'on ne veut pas faire de mal. đŸ”č 70 % des patients se rappellent avec prĂ©cision l’annonce de leur maladie ou de leur pronostic, mĂȘme des annĂ©es aprĂšs. Oui, vous avez bien lu. đŸ”č 60 % des mĂ©decins se sentent mal prĂ©parĂ©s Ă  cet exercice pourtant central dans leur pratique. Yep, c'est beaucoup. Quand j’ai commencĂ© Ă  accompagner les soignants sur ces annonces, j’ai rĂ©alisĂ© Ă  quel point ce moment est redoutĂ©. 🙁 đŸ‘©â€âš•ïž Combien de fois les soignants m'ont demandĂ© ... Comment trouver les mots justes ? Comment gĂ©rer l’émotion du patient
 et la sienne ? đŸ‘šâ€đŸ‘©â€đŸ‘§â€đŸ‘Š C'Ă©tait pareil pour les parents ... Comment annoncer Ă  mon fils ma maladie ? Et comment va-t-il le prendre ? Alors, apprendre Ă  dĂ©velopper une meilleure habiletĂ© dans cette pratique peut rendre nous rendre tous plus Ă  l’aise sur ce sujet. Et pour les soignants peut-ĂȘtre moins exposĂ©s au risque de burn out. Parce que cela pĂšse tellement l'accumulation de ces situations. J’ai donc voulu Ă©crire un article avec des repĂšres concrets, des mĂ©thodes Ă©prouvĂ©es (comme SPIKES / É.P.I.C.E.S) et des conseils issus du terrain, pour : ✅ PrĂ©parer l’échange sans le subir ✅ Mieux comprendre la perception du patient avant d’annoncer ✅ Laisser de la place aux Ă©motions, sans craindre le silence ✅ Accompagner la suite avec clartĂ© et humanitĂ© 📝 Mieux annoncer, c’est mieux accompagner. C’est un sujet qui me tient particuliĂšrement Ă  cƓur, et j’aimerais beaucoup avoir vos retours. Comment vivez-vous ces moments ? Avez-vous des approches qui vous aident ? Partagez autour de vous. đŸ’Ș 📖 tout est lĂ  👉 https://shorturl.at/76Foa Merci Doctolib, Marion Gauci et Flore Jobic pour la publication de l'article 💙 sur la CommunautĂ© ! #santĂ© #psychologie #santĂ©mentale
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March 10, 2025
🌍 Aujourd'hui, je veux vous parler des neurosciences du changement climatique. Pourquoi nos cerveaux sont-ils si mauvais Ă  percevoir ce risque ? Si vous suivez la science ou l'actu, vous savez Ă  quel point le changement climatique reprĂ©sente un mĂ©ga risque. đŸŒȘ đŸ€” Mais comme vous pouvez probablement aussi le comprendre, il est vraiment difficile de percevoir "correctement" ce risque. C'est-Ă -dire qu'il est beaucoup plus facile de se concentrer sur l'urgence d'aujourd'hui, les prĂ©visions Ă©conomiques de ce trimestre oĂč les risques sont objectivement beaucoup plus faibles... ... mais nous semblent plus pressants. C'est lĂ  oĂč les neurosciences peuvent nous donner un Ă©clairage. ➡ Pourquoi nous observons cela ? 1. En premier lieu, cela a avoir avec la dĂ©cote temporelle, cad ... de dĂ©valuer le futur. 🧠 ConcrĂštement, si quelqu'un est plus prĂȘt Ă  accepter de plus petits gains Ă  court terme plutĂŽt que des rĂ©compenses plus importantes qui mettent du temps Ă  se concrĂ©tiser 👉 cela est influencĂ© par le striatum ventral. (Il s'agit d'une rĂ©gion entraĂźnĂ©e par la dopamine). On l'appelle souvent la voie de la rĂ©compense du cerveau. Donc, cette voie de rĂ©compense vous pousse Ă  agir maintenant et Ă  ĂȘtre un penseur impulsif Ă  court terme. ✋ Et en ce qui concerne le fait de freiner, vous poussant Ă  accepter des rĂ©compenses plus importantes qui nĂ©cessitent de la patience, cela est liĂ© Ă  l'activitĂ© dans le cortex prĂ©frontal. Ce cortex prĂ©frontal mĂ©dian nous aide avec l'intĂ©gration de la valeur, Ă  dĂ©terminer ce que quelque chose vaut pour vous. Donc, ces rĂ©gions du cortex prĂ©frontal exercent une pensĂ©e plus consciente, un contrĂŽle plus haut et une inhibition. ▶ Et nous voyons donc cela se dĂ©rouler dans la prise de dĂ©cision liĂ©e Ă  l'environnement. 2. Ce qui est encore + intĂ©ressant, vient des travaux menĂ©s par Dan Kahan (professeur de droit Ă  Yale). Il a rĂ©alisĂ© une Ă©tude oĂč il supposait au dĂ©part que, + les gens devenaient mieux informĂ©s scientifiquement 👉 leur croyance envers le changement climatique en tant que risque devrait naturellement augmenter. ❌ Mais non, ce qu'il a en fait observĂ©, c'est une tendance Ă  la baisse Ă  mesure qu'ils devenaient mieux instruits. Et cela Ă©tait dĂ» en rĂ©alitĂ© Ă  un effet de polarisation. Ainsi, (par ex pour les đŸ‡ș🇾 ) : ➡ + les libĂ©raux devenaient + instruits, ils considĂ©raient le changement climatique comme un risque plus Ă©levĂ©. ➡ + les conservateurs devenaient + instruits, ils le considĂ©raient comme moins risquĂ©. 💡 En somme, + vous devenez instruit* mieux vous ĂȘtes Ă  la recherche d'informations qui confirmeraient vos hypothĂšses initiales. Mouais, bof. Kahan l'appelle une "cognition protectrice de l'identitĂ©", soit une forme de biais de confirmation. 😡 Et nous voyons donc cette polarisation partout dans la communication sur le changement climatique et les questions environnementales. N'est-ce pas? Quelles actions pourrions dĂ©velopper selon vous pour limiter ces effets ? đŸŽ€ #climatechange
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May 2, 2024
Une psychologue qui passe du milieu mĂ©dical Ă  celui de l’entrepreneuriat, est-ce vraiment possible ? đŸ€š J’ai commencĂ© ma carriĂšre en tant que psychologue de la santĂ© Ă  l'hĂŽpital dans une Ă©quipe de soins de supports et palliatifs (services de rĂ©a, cancĂ©ro, pneumo, neurochirurgie ...). Lors de cette expĂ©rience, j’ai ƓuvrĂ© Ă  la continuitĂ© des soins, assurĂ© une coordination entre les soignants et les proches, et contribuĂ© Ă  plusieurs recherches scientifiques. C’est une expĂ©rience qui avait beaucoup de sens pour moi, et que je valorise encore aujourd’hui ! 👉J’ai toujours un pied dans le milieu, notamment via mon engagement au sein du comitĂ© mĂ©dical de Doctolib, et mon activitĂ© en tant que psychothĂ©rapeute en libĂ©ral Ă  Paris. Mais j’ai eu le courage de bifurquer et de tester un nouveau secteur. 🔁 PassionnĂ©e par les neurotechnologies, j’ai poursuivi mes Ă©tudes pour mieux comprendre les diffĂ©rentes mĂ©thodologies liĂ©es aux neurosciences, intĂ©grer le coaching d'organisation, et approfondi mon expĂ©rience dans l'entreprenariat. Mon but ? Mettre Ă  profit mon expertise en psychologie pour aider les entreprises, surtout les hommes et les femmes, Ă  atteindre leurs objectifs. RĂ©sultat : je suis aujourd’hui Head of Coach Community et contribue dans l'Academy de Omind Neurotechnologies alors que j’ai commencĂ© dans un service de mĂ©decine ! đŸ˜Č Certains diront que j’ai fait le grand saut. Mais pourquoi devrait-on cantonner son expertise Ă  un seul secteur ? Plus que n’importe quelle profession, on a tendance Ă  enfermer les psychologues dans des cases. Alors que les ressorts de la psychologie humaine restent les mĂȘmes dans de nombreux domaines ! Tout ce que j’ai appris lors de mes 10 ans de pratique en milieu hospitalier me sert encore Ă©normĂ©ment aujourd’hui. ❌ ArrĂȘtons de dĂ©ifier la psychologie : elle n’est pas incompatible avec le milieu de l’entreprise, la e-santĂ© et ou celle de l'innovation entreprenariale, loin de lĂ . Car la psychologie humaine est au cƓur de la bienformance. Et je suis prĂȘte Ă  en explorer tous les ressorts. đŸ’Ș Quel est votre avis sur la place de la psychologie en entreprise et dans l'entreprenariat ? 👇 Mettez Ă  l'honneur des psychologues dont le parcours vous inspire! Jean-Denis Blanc, Juliette Lachenal ... vous en ĂȘtes aussi, partagez-nous votre chemin đŸŽ€ ps. clin d'oeil Ă  tous les Ă©tudiant.es
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February 26, 2024